vendredi 8 juin 2007

Bernache monnette



Hier dans la nuit, au soleil de minuit, je décidais de prendre l'air. Le village est déserté de toutes visites humaines, et reçoit d'autre visiteurs non visibles la journée. Mon départ approche, et au cours de mes déambulations, je pensais à mon retour à Paris, car, (comme on plaisante ici, à mon sujet, "parce qu'à Paris..." avec un accent norvégien très fort) le temps commence à être long, et la seule occupation devient l'observation.
Au détour d'un baraquement je suis tombé sur ces Bernaches qui avaient l'air fort mondaines.

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